Peter Simon
...McAllan

Carte d'identité; Nom; McAllan Prenom(s); Peter Simon Age; 34 ans, mais en paraît 30. Date de naissance: 5 Janvier 1976 Lieu de naissance; Milwaukee Nationalité; Américaine Lieu de résidence; Underway depuis quelques années maintenant. Profession; Garagiste Nature; Lycan Pouvoirs; Ceux de base d’un Lycan Clan; Aucun

I want to see you;

Peter est un home grand: 1m86 rien que ça. Mais il n’est pas le genre grand mais squelettique; il est tout en muscles longs et fins, moins visibles s’il ne porte rien de moulant, mais bien présents et visible ne serait-ce que torse-nu. Cette musculature est due à divers éléments : Tout d’abord ses années d’entraînements, puis sa nature lycanthrope joue un grand rôle là-dedans, sans compter l’acrobatie qui a sculpté ces muscles. C’est d’ailleurs la principale raison qui fait qu’il ne ressemble pas à un body-builder, la façon dont ses muscles ont été utilisés. Ca lui donne en tout cas des membres sculpté mais relativement fins, un torse musclé juste ce qu’il faut pour dire qu’il en a dans les bras et qu’il s’entretient, en revanche ses jambes sont puissantes et ça se voit.

Loin d’être le genre de minet imberbe, il porte et affiche fièrement des poils sur son torse ainsi que sur son visage. En effet il est rarement rasé de près, il a toujours une ombre de barbe qui parcoure son visage. Il lui arrive de se raser, mais c’est uniquement s’il n’a pas d’autre choix…Quant à ses cheveux…A la base ils sont châtain, mais selon la luminosité ils peuvent apparaître blond cendré/foncé, et une fois ou deux il les a teint en blond cendré plus clair que ses cheveux au naturel en plein soleil. Ses cheveux ne sont pas la seule chose à changer selon la lumière, ses yeux aussi. Si à la base ils sont d’un bleu clair morceau de ciel, en plein soleil il peuvent devenir bleu-gris et se mouvoir vers un bleu d’orage quand il est en colère ou si la lumière est sombre.

Mais ce corps il le cache en partie sous des t-shirt plus ou moins moulant, des jeans, des pantalons tâchés de cambouis…Ouais, Peter ne s’embarrasse pas, il porte des trucs confortables qui lui permette de travailler en toute liberté et qui en plus peuvent être tâchés sans trop de soucis.

I want to know you;

La première chose que l’on remarque chez cet homme : Un indéniable charisme et une rare impertinence. Homme de parole, il ne manquera jamais une promesse sauf si c’est pour une raison d’une haute importance…ou gravité. Cependant il a la mauvaise manie de jouer sur les mots lorsque ça lui chante. D’ailleurs, retenez bien ceci : Peter a un sacré franc parlé, il ne mâche pas ses mots et vous lâchera vos quatre vérité à la tête si jamais vous entrez dans ses mauvaises grâces. Sa franchise est parfois blessante, car il ne se rend pas forcément compte de l’impact qu’elle peut avoir sur les autres. Cependant, il sait parfaitement choisir ses mots quand il en a besoin, en vue de provoquer une réaction chez son interlocuteur, que ce soit de la révolte, de la colère ou bien autre chose, et là il peut être franchement horripilant.

Et lui alors ? Eh bien malgré certaines apparences, il est susceptible, mais ne le montre pas ouvertement, et tente dans la plupart des cas de le tourner en autodérision, art qu’il se plaît à manier aussi quand on ne l’insulte pas. Et même, dans les situations les plus désespérées, il garde son calme en plaisantant. Il ne panique pas, il peut s’énerver, mais ne panique pas. Ce grand dadet est aussi un poil rancunier, il ne l’est pas longtemps et n’est pas du genre à se venger, mais ne vous étonnez pas si il vous fait la tête un ou deux jours…Pourtant, si jamais vous le blessez profondément, il pourra vous en vouloir bien plus longtemps. Cela se traduit souvent par une communication au point mort (des réponses plus que vagues voir laconiques, il ne vous regarde presque pas) un évitement spontané…Bref. En gros il vous effacera de sa vie de la seule manière qu’il connaît : Couper les ponts. Et si vous le trahissez alors qu’il vous faisait confiance, vous serez son ennemi numéro un, il fera tout pour vous faire tomber…

Autant dire que c’est un sanguin. Si Peter entend, voit, ou lit quelque chose qui ne lui plaît pas, soyez sûr qu’il n’attendra pas la St Glinglin pour réagir. Ne le croyez pas totalement fermé à l’avis des autres non plus. Mais il y a des choses avec lesquelles il ne faut pas jouer, des actes et gestes à ne pas avoir, des choses à ne pas dire en face de lui. Pour peu qu’il lise une histoire dans ce goût-là dans le journal, il va être de mauvais poil toute la journée, et gare à vous si jamais il peut retrouver celui ou celle qui a fait un truc pareil, il n’hésitera pas à y aller de sa violence pour corriger le problème.

Mais ne le prenez pas pour un gros bourrin non plus. Il sait engager facilement et calmement une conversation, aime plaisanter, rire et faire rire, en fait il est très amical, et est resté un grand gamin dans l’âme, certain disent même qu’il est presque un bouffon, faisant ressortir ce côté auprès des jeunes. Il est aussi charmeur à ses heures, et surtout très taquin et joueur. Cependant, s’il refuse d’aborder un sujet, il vous est vivement déconseillé d’insister, il deviendrait aussitôt froid, distant, et se refermerait comme une huître. Tout aussi protecteur qu’amical, cette face-là de lui-même il ne la montre que peu, préférant agir dans l’ombre pour protéger (et déteste qu’on le lui fasse remarquer) il préfère rester très discret lorsque qu’il tient à quelqu’un, au cas où ceux qui lui en voudraient auraient la somptueuse idée de s’en servir contre lui. Car malgré ce qu’il affiche, Peter n’est pas totalement sans cœur, si il y a bien une faiblesse que l‘on pourra à jamais exploiter chez lui : Menacer quelqu’un à qui il tient. Mais cela…Encore faut-il savoir qui frapper et comment….
Toujours à l’écoute des gens, Peter est le parfait confident, il écoute, conseil s’il le peut et réconforte les gens qui le demande (bien qu’il ne soit que moyennement doué pour cela). En fait, il est toujours là pour les autres et ne se plaint que de broutilles, du genre "sont où les gâteaux ?" (quoi qu’une pénurie de gâteau peut-être très grave !!!) Car oui, notre Peter est un gros mangeur, comme on dit, plus c’est grand, plus c’est goinfre.

Tenant à sa liberté comme pas deux, ce loup déteste toute entrave à ses mouvements, même minime, et ce, depuis son entrée dans le cirque. De même, ne l’obligez pas à aller là où il ne veut pas, il pourrait devenir extrêmement actif pour se débattre, pouvant aller jusqu’à devenir violent. Par nature il ne l’est pas plus que nécessaire, mais si on le pousse à bout, dans ses derniers retranchements, il peut laisser exploser sa violence. Cela est rare, très rare, généralement il préfère s’en aller pour frapper quelque chose d’inanimé plutôt qu’un humain ou un être de forme vivant (sauf cas exceptionnels). Toujours dans le registre de la liberté, Peter déteste qu’on le mette devant le fait accompli, car dans ces cas-là il est acculé et n’a plus de liberté de choix. Sans compter que son franc parlé est aussi une preuve de sa soif de liberté : Toujours exprimer ses pensées (enfin dans la plupart des cas) sans avoir de barrières…

Son plus gros défaut ? Sans doute son égoïsme. Peter est en effet un homme plutôt égoïste, mais qui ne l’assume pas vraiment. En fait, il ne se rend pas réellement compte de son propre égoïsme. Mais il est aussi extrêmement possessif. Il peut en devenir étouffant, mais il se soigne…

Bien que n’aimant pas se faire manipuler, il peut lui arriver de rentrer dans le jeu de quelqu’un, s’il sait qu’il pourra le prendre à revers. Mais si quelqu’un arrive un jour à la manipuler alors qu’il ne le voulait pas, Peter n’essayera pas de se venger, pensant que si quelqu’un a réussi à l’utiliser c’est qu’il n’a pas été suffisamment doué pour l’empêcher et puis voilà, mais en revanche, il ne se pardonnera pas cela à lui-même.

Malgré les apparences qu’il veut donner Peter est quelqu’un d’extrêmement intelligent, perspicace et de très observateur (tout ce qu’il voit ou entend peut rester longtemps enregistré dans son cerveau…Alors faîtes attention à ce que vous dîtes) ; il a parfaitement compris la psychologie humaine, comment se comporte les hommes, ce qui lui offre une certaine facilité à comprendre les gens, pas les gens trop complexes certes, mais cela lui donne parfois l'occasion d'aider les gens, ou bien de se retrouver au commissariat pour coups et blessures m'enfin...Généralement il finit toujours par se payer la tête des agents, juste pour s’amuser…

S’amuser il aime ça: Il aime se moquer de ceux qui croient l’avoir sous contrôle -car soyons clair : il ne se laissera dominer par personne, jamais, il tient trop à sa liberté pour cela, et ceux qui ont déjà tenté de le soumettre, l’humilier ou le rabaisser s’y sont casser les dents (au sens propre comme au figuré).
Sans compter qu’il est extrêmement patient, pouvant attendre le temps qu’il lui faudra pour faire céder sa victime la personne qu’il a dans le collimateur. De plus, il est déterminé ; Il n’hésite pas dans ses actes, quand il est décidé, il est décidé, et il est très dur de le faire changer d’avis. Une vraie tête de mule le Peter. Mais il peut aussi changer du tout au tout : Si, quand il joue le garagiste pas très futé, il est gentil, avenant, très souriant et à l'apparence qui vous donne envie de lui faire confiance (malgré sa carrure qui rend un poil méfiant quand on ne le connaît pas) et qui ne semble pas très attentif, Peter peut devenir un vrai prédateur, mettant tout en œuvre pour atteindre ses objectifs, calculant tout ou presque, cherchant tous les moyens possibles pour y arriver. Donnez-lui cinq minutes il est bon, donnez lui une heure il est génial, donnez lui plus ? Il est imbattable, tout simplement.

Et encore cela est quand il est calme, parce que quand il est vraiment en colère cela n’a rien d’impressionnant visuellement parlant dirons-nous, mais il est terrifiant à sa façon : Il ne parle que peu, ne posant que des questions, soit pour avoir des réponses, soit des questions purement rhétoriques ou sans aucun sens pour simplement mettre à mal la confiance ou le calme de ses adversaires ; Son regard devient alors brûlant de colère, plus aucun sourire ne s’affiche sur son visage, et la violence l’emporte. Lui faisant tout détruire, ou tenter de détruire et ce, avec un calme inébranlable, une minutie à la limite du maniaque, une cruauté qui n’a pas de limite qu’une fois sa pulsion éteinte.
Voulez-vous connaître ce qui est, je pense, le pire à propos de ce comportement ? C’est qu’il ne le regrettera pas, il ne s’en vantera pas non plus, il répondra franchement. Pas de détour, pas de faux-semblant, pour une raison simple : s’il est entré dans un tel état de colère c’est que la raison le demandait et dans ce cas, pourquoi regretter si l’acte est justifié ? Blâme-t-on un policier lorsqu’il tue un malfaiteur alors que ce dernier menaçait un otage ? Blâme-t-on un médecin lorsqu’il ampute quelqu’un dont la jambe est infectée ? Non. Eh bien les motivations de la colère de Peter sont du même acabit..

Les insultes et les accusations coulent sur lui comme de l'eau sur les vitres; La plupart du temps. Il se connait très bien, il sait quand une accusation est vrai ou non, et si elle l'est, il ne réfutera pas. Pourquoi se mentir? Pour paraître bien? Futilité ; il agit, il assume. Par contre dans le cas d'une accusation mensongère, il sera plus que véhément dans sa défense, refusant de voir son honneur salit par quelconque diffamation.

Alors il a un jeu qui énerve souvent ses semblable et qui l’amuse au plus haut point. Parfois, sans raison apparente, il va essayer de faire sortir quelqu’un de ses gonds, juste pour voir. Ca l’amuse, c’est son petit coté provocateur qui provoque ça, faut pas lui en vouloir, au fond, il est resté un grand gamin…Un grand gamin très énervant, certes, mais un grand gamin quand même.

Voilà le genre de personne qu’il est, mais cela, il ne le montre pas, préférant passer pour un idiot, un homme qui ne vit que pour ses voitures et carrosseries, un homme distrait…Bref, un être à l’opposé de ce qu’il est.
Cependant ce n’est pas par honte qu’il fait cela, c’est simplement parce qu’il sait très bien que les gens comme lui ne sont pas adaptés pour la vie en société dite "civilisée" ; ainsi il ne porte jamais de jugement, de quelque sujet que soit, sachant pertinemment qu’il n’est pas un bon juge, ou plutôt qu’il n’est pas en droit de juger les gens vu son statut ; Il donne son avis ; Ah ! ça oui pour donner un avis il est le premier, mais il ne juge pas.
Si quelqu’un découvre sa supercherie, il répondra franchement. Oui il est un homme franc qui dit clairement ce qu’il pense, tout en ayant un grand tact, afin de ne pas s’attirer plus d’ennemies qu’il ne lui en faut.

Et des enemies il en a...Tous les vampires existant sont des enemies en puissance; mais même s’il n’aime pas les vampires il n’est pas un loup idiot qui ne voit que la nature. La vie lui a appris à regarder bien plus loin que la simple apparence et nature, et s’il venait à rencontrer un ou des vampires pacifistes, il ne s’excrimera pas à les haïr ou à les maltraiter, mais si ces même vampires venaient à vraiment faire du mal, là il changera de camps sans hésiter.
La prise de pouvoir des vampires n’est pas pour lui plaire et ce pour une raison assez logique, mais il y a plus : Certains loups, même s’ils détestent les vampires, sont des lâches et des opportunistes, qui n’hésitent pas à trahir les leurs pour être sûr de sauver leur propre peau...Et ça il déteste. C’est là où la prise de pouvoir des vampires l’énerve le plus.

Please, tell me your story;

Né le 5 Janvier de l’année 1976 à Milwaukee, le jeune Peter fut abandonné par ses parents. Pourquoi, cela reste un mystère ; Peut-être était-il le fruit d’une union interdite, entre une femme mariée et son amant ? Ou l’inverse ? Ou bien que ses parents ne pouvaient pas l’élever ? Cette question restera à jamais sans réponse pour l’humain…Recueillit par l’orphelinat local (qui se trouvait être rattaché à l’église, ce qui signifiait donc peu d’enfants), le jeune garçon vécut entouré d’autre enfants abandonnés à leur sort, en quête d’une famille qui voudrait bien d’eux. Il se créa alors dans cet orphelinat un climat de famille comme Peter n’en n’a plus jamais connu depuis.

Ne croyez pas que parce qu’il était dans un orphelinat sa vie lui a été triste, ou ennuyeuse en quelques points, non, non loin de là. Car non seulement il s’occupait mais s’occupait intelligemment : Il cultivait aussi bien son esprit que son corps. Son esprit par l’école (puis le collège et le lycée), ainsi que les nombreux livres qu’il lisait à longueur de journée quand il ne faisait pas autre chose. Comme par exemple aller voir son professeur de boxe attitré. Non, il ne s’était pas inscrit dans un club de boxe, mais un ancien professeur de sport à la retraite avait accepté de lui apprendre les bases en Boxe française (il disait toujours : Se servir autant de ses poings que de ses pieds, c’est ça le secret pour terrasser presque tous les adversaires !), ainsi qu’en Taekwondo et en karaté. Ces deux disciplines-là lui servaient surtout à accroître sa souplesse, son self-control et son agilité qu’autre chose, il n’a d’ailleurs pas poursuivi ces disciplines.

Voilà ce que je voulais dire par « cultiver son corps ». Et encore, les cours du vieux n’étaient qu’une petite partie de cette culture ; en effet, cela était sans compter les longues heures d’entraînements et de musculation qu’il faisait après les cours.
Son apprentissage de la boxe ne se fit qu’entre ses 7 et 13 ans, vous comprendrez pourquoi plus tard. Cependant, cela n’empêcha pas Peter de s’entraîner, loin de là. A défaut de pouvoir se servir de la salle de boxe, quand celle-ci était fermée, il frappait sur des sacs de riz (du genre les sacs de 5 ou 10Kg facile) ou tout autre grains et graines qui pouvaient se retrouver conditionner dans un sac, et utilisant les sac vide (rempli avec des galets selon le poids qu’il désirait soulever) qu’il avait fixé à des barres métallique comme altères. Qui a dit que Peter se faisait appeler Mc Gyver ?

Pour ce qui est de cultiver son esprit, Peter lisait beaucoup malgré ce qu’on pourrait penser ; il enfreignait souvent l’heure du couvre-feu afin de lire plus longtemps qu’il lui était autorisé (ça lui a d’ailleurs valut plusieurs punitions à l’époque…). Mais il n’hésitait pas non plus à poser des questions quand quelque chose lui échappait. Il devint ainsi très observateur, ce qui l’aida beaucoup plus tard.

Mais pourquoi son professeur de boxe n’a-t-il pu continuer l’entraînement de Peter ? Très simple : Il est mort avant. Mais pas seulement lui. Tous ceux qui vivaient avec lui à l’orphelinat. Voici comment cela s’est déroulé :

C’était un soir comme les autres de l’année de ses quatorze ans, et Peter revenait d’une de ses séances d’entraînement sur sac lorsqu’il vit un groupe de cinq personnes dans l’église. Cinq personnes en somme toutes banales, certains semblaient albinos ; venaient-ils des pays de l’Est ? Sûrement. En tout cas, Peter ne fit pas plus cas que cela de ces gens. Il n’était pas rare que des voyageurs demandent refuge à l’église pour une halte. Il repartit donc normalement dans sa chambre, qu’il partageait avec deux autres enfants de l’orphelinat, tous deux ses cadets. Ce ne fut que vers le dîner qu’il commença à se poser des questions à leur propos. Pas tant parce qu’ils ne mangeaient pas, peut-être étaient-ils des pèlerins qui jeûnaient ou ne mangeaient que peu jusqu’à leur destination, mais à cause de leur attitude comploteuse. Ils discutaient entre eux à voix basse (chose logique dans une église), en désignant d’un habile coup d’œil tel ou tel enfant voir adulte de l’orphelinat. Oh ! C’était discret, mais Peter avait un œil de lynx et lorsqu’il s’intéressait à quelque chose, les moindres détails lui apparaissaient clairement (ou presque disons).

Inquiet de ce que ces personnes avaient pu comploter (car il a beau avoir un œil de lynx, il n’a pas l’ouïe qui va avec dommage…), il tenta de prévenir le directeur et père de l’orphelinat, de le mettre en garde contre ces personnes. Mais personne n’accepta de le croire (sauf un petit de six ans qui en cessait de répéter d’une voix enfantine un poil boudeuse "G’and frère Pete il dit rien que la vérité d’abord !" ce qui attendrissait Peter sans pour autant l’aider). Bien, qu’ils fassent ce qu’ils veulent, si jamais il y avait un problème ou des vols, on ne pourra pas dire qu’il ne les avait pas prévenus. Ce soir-là il resta encore très tard à lire un roman, et vers deux heures du matin Tomas entendit un drôle de bruit provenant du couloir. Croyant à un voleur, il se saisit de la batte de base-ball, qu’il gardait toujours sous son lit en cas de problème, et sortit sans un bruit, allant doucement, guettant chaque tournant de couloir, chaque coin d’ombre…Pour finalement entendre une voix quelques pas en avant. Celui d’un des enfants. Mais il n’arrivait pas à comprendre ce qu’il disait, alors, risquant le tout pour le tout, Peter sortit la tête de sa cachette et observa…Il aurait préféré avoir eu un sommeil de plomb à ce moment-là. Ne s’être jamais levé, n’avoir jamais vu ce qu’il a vu cette nuit-là.
Devant lui, il vit un être visiblement pas humain, même dans la pénombre ambiante, en train de dévorer…Un des enfants plus jeunes. Se retenant de vomir tout son dîner sur le parquet, Peter prit deux grandes inspirations et courut avec un grands cri vers la chose, attirant son attention il frappa, touchant directement à la tête. Mais il ne pouvait rien pour le jeune enfant qui s’était fait attaqué. Voyant que la chose ne bougeait plus depuis plus de dix secondes, Peter courut dans les couloirs, cherchant le père supérieur, ou même une des religieuses, mais tous étaient morts. Il ne savait pas ce qu’étaient ces choses, mais une chose était sûre dans sa tête : Il devait fuir, et vite !

Prenant le risque de repasser par sa chambre prendre des chaussures, il remarqua que le corps de la chose qu’il croyait avoir assommée n’était plus là. Pressant le pas, il mit à même ses pieds les premières chaussures qui passaient, son portefeuille et fuit l’orphelinat, croyant être tranquille. Mais il fut suivit par deux des cinq créatures qui ont attaquée l’orphelinat, et il courut plus vite, regardant de temps en temps derrière lui, vérifiant si ses poursuivant le suivaient toujours. Il ne faisait pas attention à où il courait, il courait, point final. Quand il ne vit plus personne derrière lui, il s’arrêta dans sa courses, prenant le temps de bien observer l’obscurité, au cas où. Si attentif à là d’où il venait, il ne vit que bien trop tard la voiture qui arrivait, et il fut renversé, perdant connaissance pour deux bons jours.

Quand enfin, au bout de deux jours, Peter se réveilla, ce fut pour se trouver devant un plafond blanc, dans un lit tout aussi blanc, avec à son chevet un gars tout aussi noir…Hep, hep, hep…Minute papillon. Noir ? Se tournant une nouvelle fois vers le type à son chevet, il le regretta bien vite vu la douleur qui le lança à l’arrière de sa tête.

"Hey, calmes-toi petit, tu es resté inconscient deux jours tout de même…"
"Hein ? Inconscient ? Deux jours ?! Comment ça ? Et puis vous êtes qui d'abord?"
"Oui, tu t’es fait renverser par une voiture en pleine nuit avant-hier, on t’a amené à l’hôpital, et voilà. Quant à moi je suis l'inspecteur Sheridan."
"Ah bon ?"
L’homme le regarda, surpris.
"Tu ne te souviens plus ?"
"Visiblement non. Je devrais me souvenir de quoi ?"
"Hum…Quelle est la dernière chose dont tu te rappelles ?"
"D’avoir lu jusqu’à deux heures du matin…Pourquoi ?"
"Rien d’autre ?"
"Non ! Deux fois, la troisième je cogne ! On m’explique où on va jouer aux devinettes encore longtemps ?"
L’homme regarda Peter longuement, puis lui annonça, le visage sombre, après un soupir.
"Tous les habitants de l’orphelinat où tu vivais ont été tués. Sans exceptions. Sauf toi."

Cette nouvelle fit un choc dans le crâne du jeune adolescent, et retombant lourdement sur le coussin du lit, il fixa de longues secondes le plafond, assimilant la nouvelle de la mort de toute sa famille. Sa presque famille disons. Mais même. Tellement de questions se bousculaient dans sa tête. Pourquoi ? Par qui ? Pourquoi lui était encore vivant ? Pourquoi ne se souvenait-il rien de cette nuit-là ? Que s’était-il donc bien passé cette nuit là ? Pourquoi.. ?Pourquoi ? Pourquoi ?!

"Ne te sens pas coupable, ça n’est pas ta…"
"La ferme…On en reparlera quand tu auras perdu toute ta famille corbeau de malheur."

Mouché par l’acidité qu’il sentait dans la voix du plus jeune, l’homme ne dit rien, et sortit de la chambre, sans un mot de plus.

Deux semaines plus tard, Peter était autorisé à sortir de l’hôpital, il n’avait plus vraiment d’endroits où aller. Oh ! ils l’avaient placé dans une famille d’accueil, mais il a fugué. Pendant près de deux mois, il erra dans les rues de Peter, cherchant chaque soir un nouvel abri. Puis un jour, il venait d’atteindre ses quatorze ans, et un camion s’arrêta à son niveau, le conducteur lui proposant de monter. Hésitant au départ, Peter finit par monter.

"Tu faisais peine à voir gamin. Qu’est-ce que tu fais comme ça au bord de la route par un temps pareil ? T’as fugué ?"
Peter allait répondre quand l’homme lui recoupa la parole.
"En fait, tu veux que je te dise, je m’en fiche en fait, j’avais juste pas le cœur à laisser un gamin au bord de la route. Pas vrai vous autres ?"

Des voix criant des ‘oui’ et des ‘pour sûr Hibernius !’ arrivèrent de l’arrière du camion et Peter se tourna vers la paroi qui séparait les deux parties du camion, et le conducteur ouvrit une petite trappe dans la paroi, laissant Peter voir les quelques personnes qui se trouvaient à l’arrière et Peter les observa tour à tour, avant de revenir à l’observation de la route.

"Vous êtes… ?"
"Une troupe de cirque. On sait ce que c’est que de ne pas avoir de toit fixe, alors on ne rechine pas à offrir notre aide."
"Ah…"[/color]
[b]"Ca te dit de te joindre à nous ?"
"Euh…Si vous voulez faire foirer votre spectacle…Je veux bien. Je ne connais rien, à part quelques bases de boxes et encore…"
Le nommé Hibernius rit aux éclats et lui donna une tape dans le dos qui manqua de lui faire embrasser le tableau de bord.
"T’en fais pas pour ça, même si tu ne fais pas de numéros, une paire de bras en plus n’est jamais de trop."
Réfléchissant un instant à la proposition, Peter finit par accepter, ce qui fut accompagné par plusieurs cris de joie.

Ainsi, Peter découvrit la vie qu’avaient les saltimbanques, se fit pas mal d’amis, dont le lanceur de couteau et le charmeur de serpent. Tous les mois ils échouaient dans une nouvelle ville, montaient les tentes et se montraient au publique comme les artisans du spectacle qu’ils étaient. Mais il y avait une tradition : Tous les mois trois jours durant, tous les membres du cirque prenaient des vacances, chacun partant de son coté. Peter restait avec les camions, et comprit moins d’un an plus tard pourquoi ils prenaient trois jours par mois. Un an plus tard, il comprit le pourquoi du comment de manière très claire : Il fit l’expérience par lui-même. Il avait à peine quinze ans, et il fut pris d’une très forte fièvre, le genre de fièvre qui vous donne mal partout, plus mal que lorsqu’il revenait des entraînements de boxe. Il souffrait : de ses muscles douloureusement mis à l’épreuve pour une raison qu’il ne comprenait pas ; de sa tête qui était surpeuplée par des informations données par ses sens, trop d’odeurs si fortes à la fois, trop de couleurs trop vives même pour un cirque, trop de textures pour seulement dix doigts, trop de saveurs pour un seul palais…Peter pensait qu’il allait devenir fou. Il le pensait sincèrement…Mais il ne devint pas fou. Durant plus d’une semaine il expérimenta cette douleur plus d’autres, comme celle de ses os changeant, comme obligé de bouger dans un endroit trop restreint, ne lui appartenant pas. Mais au bout d’une semaine il se réveilla, trempé de sueur, le corps brûlant…Pour lui qui ne savait encore rien, il pensait encore avoir de la fièvre. Il se leva, en simple short et alla prendre une douche glacée. Mais il faut croire que le sort s’acharnait contre lui car même l’eau lui semblait tiède. Observant son corps alors qu’il se lavait, il remarqua ses muscles plus gonflé que ce dont il se souvenait, il avait grandi aussi, pas beaucoup plus que la poussée de croissance qu’il avait fait cette dernière année, mais ça faisait bizarre quand même.

"Tu as bien changé en une semaine Pete." Le nouveau loup sursauta, se tournant vers la voix qui venait de lui parler et reconnu Karine, la trapéziste. Il haussa un sourcil. Elle ne semblait pas étonnée, juste…Appréciative. A dire vrai elle semblait plus le détailler qu’autre chose.
"Ca n’a pas l’air de te choquer plus que cela."
"En effet. Pour deux raisons, d’une, je me suis occupé de toi durant tout le processus, et puis je dois dire que ça t’as bien réussi."
"Qu’est-ce qui m’a bien réussi ?"
"Ta transformation bien sûr…"

Il y eut un gros blanc durant quelques secondes, puis il demanda plus d’information. Pour ce faire Karine le mena à Hibernius, qui, entouré de tous les autres de la troupe, expliqua enfin ce qui lui arrivait. Comme quoi il était un loup garou et tout ça…Ca lui fit un gros choque. Lui qui n’avait jamais cru en l’existence de tels êtres, il ne pensait évidemment pas en être un. Sûrement pas. Il lui fallut une nouvelle semaine pour prendre pleinement conscience des changements effectués. Ce ne fut pas facile, il était sujet à de gros sauts d’humeurs qu’il regrettait généralement de suite. Heureusement, tous autour de lui étaient passés par là et savait la difficulté qu’on pouvait avoir à contrôler ses instincts. Mais Karine l’a aussi beaucoup aidé. Notamment lors de sa première pleine lune. Certes il n’avait que quinze ans, mais les chaleurs n’attendent pas que vous ayez l’âge légal pour se manifester, et il était bien content que Karine ait été là pour l’aider plutôt qu’il aille s’en prendre à n’importe qui. Mais à vrai dire, il s’adapta bien à sa nouvelle vie, la seule chose qu’il eut du mal à assumer les premières années furent les dites chaleurs. Mais Karine était toujours là pour lui. A croire que…nan, c’était beau de rêver, mais il ne fallait pas que Peter essaie de voir un quelconque signe là-dessous, les lycans étaient volages, c’était bien connu…

Cinq ans passa comme ça, il ne se produisait pas, il aidait aux tâches ménagère, préparait la piste entre deux numéros, vendait les jouets et confiseries avant et après le spectacle, s’occupait de la billetterie…Bref, ce genre de chose. Jusqu’au jour où l’assistante de Jimmy (le lanceur de couteau), se blessa à la jambe, l’empêchant de faire son tour. En dernier recourt il demanda à Peter de la remplacer, ce qu’il accepta, bien qu’il fut un peu nerveux au départ, une fois sur la piste, dans son habit de clown, sa moitié de masque sur le visage, il ne tremblait pas, il était calme, plus calme qu’il ne l’avait jamais été…Ce qui étonna aussi bien que mortifia Jimmy. Lorsqu’ils sortirent de scène, Hibernius lui-même lui dit que son calme face aux couteaux de Jimmy l’avait effrayé. Quiconque de non entraîner à ce tour avait peut normalement, même Hibernius avait testé et avait finit par s’évanouir à la fin du test. Haussant les épaules, Peter commença alors sa petite vie d’acrobate par la suite. Il usait de corde à nœud, de barres asymétriques, d’une corde raide aussi. Bref, il usait de sa force et de sa souplesse pour produire un numéro d’acrobatie. Son nom de scène était O’Malley, en référence au chat des Aristochats, comme lui il était rigolard ; comme lui il connaissait sa ville comme sa poche ; comme lui il était un chat des rues. A présent il se sentait vraiment faire partie de la troupe. Il ne retrouvait pas cette ambiance de famille qu’il avait connu à l’orphelinat, non, c’était plus comme une grande aventure avec ses plus proches amis.

Du moins jusqu’à ce qu’il ne soit sur le point de former sa propre famille. En effet, dix ans après sa transformation, Karine et lui se mirent en couple, une nouvelle qui fut accueillie avec joie par tous les membres de la troupe. Troupe qui s’était agrandie d’un membre, un autre lycan, Zillah. Un mec bien, sympa et rigolard, avec Peter ils ont tout de suite sympathisés. Lui il était jongleur. Trois ans plus tard, ils se marièrent.
Un an et demi plus tard, une autre bonne nouvelle arriva. Peter méditait dans la caravane qu’il partageait avec Karine. C’était un truc qu’il avait appris quand il a appris les bases du karaté, et il s’en servait régulièrement pour mettre ses émotions exacerbées sous contrôle. Il fut interrompu par une voix qu’il ne connaissait que trop bien.

"Comment va mon Vulcain de mari ?"
Une petite blague entre eux, en référence à star trek où les vulcains méditaient pour supprimer les émotions qui risquaient de les déranger. Il sourit puis se leva et alla prendre sa femme dans ses bras.
"Parfaitement bien, mais je ne suis pas Vulcain, les vulcains refusent les émotions, je ne fais que les garder sous contrôle."
"D’accord, alors tu es un Mr Spock. Bref, je ne suis pas là pour ça. J’ai une super nouvelle !"
"Tu vas enfin ranger ton tiroir de la penderie ?" il reçut une tape sur la tête en réponse à ce commentaire.
"Non, j’attend un bébé Peter." Là, immobilité total du dis mari.
"Un bébé…Un petit toi ?"
"Non, un petit nous, et oui un bébé. Tu sais, ce que tu as été il y a pas si longtemps que ça…"

Et sans crier gare Peter prit sa femme dans ses bras et la fit tournoyer. Karine était enceinte, consécration de sa vie. Que de bonne nouvelles en moins de cinq ans. Mais qui a dit que le bonheur était fait pour durer ? Tout s’écroula en une nuit.

Parti faire des courses dans la journée, il fut accueilli au campement par une vision qui le fit se transformer presque instantanément : Un groupe de vampire important les attaquait. Fendant dans la mêlée, il chercha Karine, pour qui il s’inquiétait. Elle en était à six mois de grossesse, elle ne pourrait pas se battre, pas si elle voulait garder le bébé et elle le savait aussi bien que lui. Quand enfin il la trouva, nombre de ses compagnons étaient morts des mains des vampires (qui eux aussi avaient eux de sévères pertes) d’une part, mais d’autre part il vit quelque chose qu’il ne pensait pas possible. Zillah, qu’il croyait être un ami, tenait Karine, un sourire mauvais au visage. Se retransformant en humain, il s’approcha de Zillah, près à lui sauter à la gorge dès qu’il en aurait l’occasion. Il avait entravé Karine de façon à ce qu’elle ne puisse se défendre.

"Zillah ! Relâche-la !”
“Pas avant que tous les autres soient morts."
"Alors c’est toi qui a mené les vampires jusqu’à nous ?! Sale traitre !"
"Je sais ce qui me sera le plus profitable, nuance."

Alors qu’il allait se jeter sur Zillah pour le démenbrer aussi lentement qu’il le pouvait, il fut saisi par deux vampires qui le gardèrent au sol avec l’aide d’un troisième. Il se débattit avec force. Il devait aider Karine, il devait la mettre en sécurité, hors de portée des vampires et de ce traitre de Zillah. Mais à trois contre un, le combat était perdu d’avance. Quelques minutes plus tard, un autre vampire vint donner des informations à Zillah qui, sans crier gare, fit pivoter d’un mouvement sec la tête de Karine, faisant retentir un trop fort « crack » qui parvint aux oreilles de Peter, qui d’un coup arrêta de se débattre et regarda le corps à présent sans vie de sa femme s’écraser au sol. Quand on demanda à Zillah s’il voulait qu’on le tue, Peter aurait préféré que l’on dise oui, mais la seule chose que répondit le seul autre lycan encore en vie fut ceci :

"Non, laissez-le vivre, qu’il répandent le bruit de votre suprématie, qu’il me haïsse, qu’il me cherche et me pourchasse…Il sera Sherlock Holmes, je serais Moriarty…" Peter lui lança un regard meurtrier et Zillah s’approcha.
"Tu regretteras de m’avoir laissé en vie Zillah, un jour je te ferais payer cela…Je te souhaite de ne jamais t’attacher à quelqu’un. Ou tu souffriras comme tu n’as jamais souffert…"
"Je t’attends Peter. Ne me déçois pas."

Sur ces paroles, les vampires et le lycan traitre quittèrent le campement, laissant le seul survivant pleurer ses morts. Il passa le reste de la nuit à creuser des tombes pour chacun d’eux, les enterrant comme ils le méritaient. Puis il partit, comme après la perte de l’orphelinat, et alla à la première ville qu’il trouva : Underway.

A cette époque-là, les vampires n’avait pas encore pris le pouvoir ou même était simplement sortit de l’ombre. Seul les lycan et certains pauvres humains étaient au courant. Avide de vengeance mais sachant qu’il n’irait pas bien loin sans argent, Peter se chercha un travail à Underway. Si dans les premiers mois il ne trouva rien, il finit par se faire embaucher en tant qu’apprenti dans un garage. En deux ans il acquit le statut d’employé à part entière dans le garage, et même s’il doit encore faire ses preuves aux yeux des plus vieux, son travail est bien fait et appliqué, de plus, ça lui permet de vivre dans cette ville qui apparemment semble être le QG de Ligue de Domination…Bien qu’il devrait partir comme n’importe quelle personne sensée, il reste, et ça fait quatre ans que ça dure à présent.

And you...

Pseudo; Mimine Age; 19 ans Code; Validée par Chris" Présence sur le forum ; Euh…Variable, mais si j’ai un sujet en cours, je posterais minimum une fois par semaine ^^ plus si je suis en forme ^^ Personnalité sur l'avatar; Bradley Cooper Comment avez-vous connu le forum; Par de la pub, mais je sais plus où XD

Bienvenue chez nous l'ami.
Très belle fiche. Comme l'a dit ma Chrisounette, une histoire très bien menée.
Bonne continuation.
Et surtout amuses-toi bien avec nous, ce que je ne doute pas [du moins j'espère]. (:
Au plaisir de Rp bien sur.